Matala

Soyons honnêtes, ce lieu est très populaire.

Comparé à la tranquillité d'autres endroits comme au mont Odigitria par exemple, ici les voitures ont élu domicile et le parking était complet lors de notre passage.

Qu'à cela ne tienne, nous sommes des touristes nous aussi, nous trouvons une place.

Pour accéder à la plage de Matala, nous devons passer... par Matala. Bien joué Sherlock.

Il a dans les rue de cette ville un bon nombre d'échoppes dans lesquelles vous trouverez un peu de tout.

Une ambiance très "baba cool" flotte dans les airs. De nombreux artistes sont passés par là et ont décoré les rues au fil du temps. Les ruelles de ce village sont d'ailleurs très célèbres car elles sont très colorées.

Le hasard faisant bien les choses, aux abords du village nous trouvons sur un mur une peinture "Red beach" agrémentée d'une grosse flèche. Nous marchons dans cette direction.

Une fois de plus n'est pas coutume, nous prenons de la hauteur. En nous retournant nous prenons le temps d'apprécier la vue de la falaise de Matala qui plonge directement dans la mer.

Nous croisons un marcheur ayant visiblement baissé les bras et faisant demi-tour, trouvant le chemin trop long.

Etant avide d'aventure, nous continuons notre marche et... Le spectacle est au rendez-vous.

Si je devais vous résumer Matala, je vous dirait que c'est un bon mélange entre quiétude, zénitude et repos.

Après notre aller-retour en direction de la red beach, nous sommes restés de longues minutes à regarder les vagues s'échouer sur la plage, perdus dans nos pensées.

A faire !